Où acheter à Alicante quand on est francophone ?
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Alicante et sa région de la Costa Blanca attirent chaque année de nombreux acheteurs suisses et français en quête de soleil, de qualité de vie et d’un investissement immobilier sûr. Les étrangers représentent d’ailleurs une part importante des acquéreurs dans la province – plus de 50% de la demande dans une trentaine de zones côtières d’Alicante selon une étude Idealista. Les francophones figurent parmi les nationalités les plus actives sur le marché immobilier espagnol, aux côtés des Britanniques et des Allemands. Que vous recherchiez un appartement moderne clé en main en bord de mer ou une villa au calme dans l’arrière-pays, Alicante offre un large éventail de lieux de vie adaptés aux besoins d’une clientèle francophone. Dans cet article, nous vous présentons les meilleures zones d’Alicante pour investir, avec leurs atouts pratiques – climat méditerranéen, communautés accueillantes, services de qualité. Suivez le guide !
Alicante ville : cadre méditerranéen dynamique et services de qualité
Vue panoramique sur Alicante : la plage du Postiguet au pied du château Santa Bárbara, en plein cœur de la ville.
Alicante, capitale de la province, combine l’animation d’une grande ville et le charme balnéaire de la Costa Blanca. Vivre à Alicante, c’est profiter de plages urbaines (Playa del Postiguet), de la promenade de l’Explanada bordée de palmiers, de marchés et restaurants typiques, tout en ayant à portée de main des infrastructures modernes. L’aéroport international Alicante-Elche n’est qu’à 15 minutes du centre, idéal pour les allers-retours avec la Suisse ou la France. La ville dispose en outre d’une gare reliant Madrid en TGV (AVE) et de plusieurs hôpitaux et cliniques de haut niveau – un gage de tranquillité d’esprit pour les expatriés. Alicante abrite également une agence consulaire de France, preuve d’une présence française établie. Côté immobilier, les prix y restent attractifs pour une métropole méditerranéenne : en 2024, le centre-ville affiche des prix moyens autour de 2 000 à 3 500 € le m², bien plus abordables qu’à Nice ou Genève, avec un marché dynamique porté par la demande locale et internationale.

Centre-ville d’Alicante (El Centro, Casco Histórico)
Le cœur d’Alicante séduira ceux qui recherchent la vie urbaine sans renoncer à la mer. Le quartier historique (Casco Antiguo) et le centre traditionnel offrent des ruelles pittoresques au pied du château de Santa Bárbara, des restaurants, musées, théâtres et boutiques. C’est une zone idéale pour profiter à pied de toutes les commodités – marché central, écoles, tramways – tout en étant à quelques minutes de la plage du Postiguet. L’ambiance y est animée toute l’année grâce aux habitants et étudiants, mais aussi aux touristes en été. Pour un investissement locatif, le centre est prisé et garantit un bon taux d’occupation saisonnière. Les biens immobiliers vont de l’appartement moderne dans une résidence récente aux immeubles traditionnels avec balcons en fer forgé. Les prix y sont intermédiaires pour la ville d’Alicante (autour de 2 000-3 500 €/m²), reflétant la forte demande pour ce secteur recherché. En choisissant le centre, les francophones bénéficient d’un environnement vivant et cosmopolite, où il est facile de communiquer en espagnol comme en anglais auprès des commerçants.
Playa de San Juan
Playa de San Juan est la plage vedette d’Alicante, longue étendue de sable fin bordée de résidences contemporaines. Ce quartier résidentiel au nord de la ville est particulièrement apprécié des familles et des expatriés pour son cadre de vie balnéaire tout en restant proche du centre. On y trouve des complexes immobiliers neufs avec piscines, jardins et parkings, parfaits pour un achat clé en main sans travaux. Les commodités abondent : commerces, supermarchés, restaurants variés, ainsi que le tramway qui relie directement Playa San Juan au centre d’Alicante. Les amateurs de sport profitent du golf d’Alicante et des clubs nautiques à proximité. Un atout de taille pour les francophones ayant des enfants est la présence du Lycée Français International d’Alicante (situé à seulement quelques kilomètres, à El Campello) et d’autres écoles internationales anglophones, ce qui facilite la scolarisation dans sa langue. Le secteur est sûr, propre et actif toute l’année, attirant une communauté internationale. Cette popularité se reflète dans les prix, parmi les plus élevés de la ville (environ 2 500 à 4 000 € le m² pour un appartement avec vue mer). Cependant, le budget est justifié par la qualité de vie exceptionnelle qu’offre Playa San Juan : ici, on vit “les pieds dans l’eau” avec la garantie de couchers de soleil sur la Méditerranée et de voisins accueillants.
Cabo de las Huertas
Juste au sud de Playa San Juan se trouve le Cabo de las Huertas, un cap résidentiel et verdoyant considéré comme la zone la plus huppée d’Alicante. Loin de l’agitation touristique, Cabo de las Huertas offre un environnement calme et exclusif : petites criques aux eaux cristallines, sentiers côtiers pour se promener et villas de luxe perchées sur les collines. Ce quartier très sécurisé est plébiscité par les acheteurs en quête d’intimité et de standing. On y trouve de somptueuses villas avec jardins et piscines, ainsi que des appartements haut de gamme, souvent de style moderne. Les prix y sont logiquement plus élevés, atteignant 2 500 à 4 500 € le m² pour les propriétés les plus prisées. Cabo de las Huertas reste toutefois à proximité immédiate des commodités (centres commerciaux, cliniques privées, écoles) de Playa San Juan et n’est qu’à 10-15 minutes du centre-ville d’Alicante. Pour un acheteur francophone, s’installer au Cabo signifie intégrer un quartier résidentiel discret où de nombreux voisins parlent anglais ou d’autres langues – la barrière linguistique y est donc moindre. C’est le choix idéal pour un profil recherchant la tranquillité absolue, un microclimat doux toute l’année et un accès direct à la mer (plages et criques à quelques pas), sans s’éloigner des services urbains.
La Albufereta
Située entre le centre d’Alicante et Playa San Juan, La Albufereta est un quartier littoral historique offrant un compromis intéressant. Ancienne zone de résidences secondaires des Alicantins, l’Albufereta est aujourd’hui un secteur résidentiel paisible en front de mer. On y profite de magnifiques vues sur une baie abritée, depuis les nombreux appartements en hauteur qui dominent la plage de l’Albufereta. Le quartier a conservé une atmosphère un peu rétro des années 1970, avec des immeubles plus anciens (parfois à rafraîchir) et quelques résidences modernes. Les prix y sont plus abordables que dans les zones précédentes, autour de 2 000 à 3 200 € le m², ce qui attire une clientèle de retraités et d’acquéreurs de résidence secondaire en quête de mer et de calme. En effet, l’environnement est très tranquille, familial, loin des nuisances sonores du centre – un cadre parfait pour les retraités ou pour une villégiature au soleil. La plage locale, moins fréquentée, est agréable pour la baignade et les sports nautiques. Côté services, l’Albufereta dispose de commerces de proximité, et Alicante centre reste accessible en 5 minutes de voiture ou par le tram. Pour un francophone, c’est un endroit rassurant où de nombreux résidents sont des Européens du Nord (britanniques, scandinaves…) vivant ici à l’année, ce qui assure la présence de médecins polyglottes, d’associations d’expatriés et d’une communauté accueillante. L’Albufereta permet ainsi de goûter à la vie balnéaire méditerranéenne dans un esprit village, tout en restant connecté à la ville.
Au sud d’Alicante : Orihuela Costa et Torrevieja, l’eldorado ensoleillé des expatriés
Au sud de la ville d’Alicante s’étendent des kilomètres de côtes prisées pour leurs plages et leur ambiance cosmopolite. La Costa Blanca sud, autour de Torrevieja et d’Orihuela Costa, est une destination de choix pour les acheteurs étrangers disposant de budgets variés, notamment grâce à un coût de la vie et de l’immobilier très attractifs. On y profite d’un décor idyllique – plages de sable fin, plus de 300 jours de soleil par an – et de curiosités naturelles uniques comme les lacs salés roses de Torrevieja. De fait, cette région est devenue un véritable « home away from home » pour de nombreuses communautés d’expatriés, avec une population qui ne cesse de croître chaque année. Les francophones ne sont pas en reste : ils trouveront dans le Sud d’Alicante un accueil chaleureux, de nombreux commerces tenus par des étrangers (restaurants, boulangeries, cabinets médicaux anglophones, etc.) et un style de vie détendu. Focus sur les zones phares de cette couronne sud :
Orihuela Costa (Villamartín, Playa Flamenca et environs)
Orihuela Costa désigne la frange littorale de la commune d’Orihuela, une succession de quartiers résidentiels et de stations balnéaires à environ 50 km au sud d’Alicante. Plutôt que d’être une ville unique, Orihuela Costa se compose de multiples urbanisations aux identités propres – idéales pour qui cherche un environnement international et des infrastructures modernes. Deux des zones les plus connues sont Villamartín et Playa Flamenca. Villamartín, légèrement en retrait dans les terres, s’organise autour d’un golf renommé et d’une placette centrale animée où l’on trouve restaurants et boutiques. Ce quartier verdoyant attire beaucoup de retraités et de familles expatriées en quête de tranquillité, tout en restant à 10 minutes des plages. À l’inverse, Playa Flamenca est située en bord de mer : elle offre de belles plages, une promenade maritime et une ambiance plus touristique en été. Ces deux secteurs bénéficient de nombreux projets immobiliers neufs (appartements et maisons mitoyennes en lotissements sécurisés), conçus pour une clientèle internationale désirant emménager sans souci – finitions modernes, piscines communautaires, jardins entretenus. Le coût d’acquisition y est très raisonnable comparé au nord de la Costa Blanca : certains quartiers de Torrevieja-Orihuela Costa affichent des prix jusqu’à deux fois inférieurs à ceux de la région d’Alicante ville (autour de 1 000 €/m² dans les zones les moins chères).
La population d’Orihuela Costa est un véritable mélange de nationalités. Plus d’un tiers des habitants n’y sont pas Espagnols, représentant plus de 120 nationalités différentes. Historiquement dominée par les Britanniques (on y trouve pubs, supermarchés “British” et même un journal local en anglais), la communauté s’est diversifiée avec des résidents d’Europe du Nord, de Russie, et bien sûr quelques francophones. L’anglais est largement parlé dans les commerces et on peut aisément s’y débrouiller sans maîtriser parfaitement l’espagnol au début. Les zones comme La Zenia ou Cabo Roig, voisines de Playa Flamenca, illustrent cet engouement étranger : la demande d’achat émanant d’acheteurs internationaux y atteint environ 64-65% du total, un record.
En termes d’équipements, Orihuela Costa n’a rien à envier à une petite ville : le grand centre commercial Zenia Boulevard propose plus de 150 boutiques et restaurants, les marchés de rue et centres médicaux (dont certains avec personnel francophone) sont nombreux. Les familles francophones noteront la présence d’écoles internationales à proximité immédiate – par exemple le collège El Limonar (enseignement bilingue) – ce qui évite de longs trajets scolaires. Côté transports, l’autoroute AP-7 dessert toute la zone et permet de rejoindre l’aéroport d’Alicante en 45 minutes environ. En somme, Orihuela Costa convient parfaitement aux personnes cherchant une vie confortable dans une communauté d’expatriés bien établie, avec la garantie du soleil et de la mer à portée de main.
Torrevieja
Torrevieja est la grande ville de la Costa Blanca sud, située juste au nord d’Orihuela Costa. Ancien village de pêcheurs et de sauniers, Torrevieja s’est transformée en une cité balnéaire dynamique d’environ 106 000 habitants, dont plus de la moitié sont des résidents étrangers. Ce chiffre impressionnant (52% de la population) reflète l’extraordinaire melting-pot de la ville : pas moins de 123 nationalités y cohabitent, avec d’importantes communautés d’Ukrainiens, de Russes, de Britanniques, de Scandinaves, mais aussi 685 ressortissants français environ enregistrés en 2024. Les francophones qui s’y installent peuvent donc compter sur la présence d’autres Français et Belges, ainsi que sur une offre de services dans leur langue (associations francophones, cabinets médicaux avec traducteurs, etc.).
Torrevieja offre un cadre de vie urbain ensoleillé toute l’année. On y trouve plusieurs plages en ville (Playa del Cura, Los Locos) et une longue promenade maritime bordée de cafés, glaciers et restaurants. La ville est réputée pour ses deux lagunes salées rose et verte, classées parc naturel, qui contribuent à un microclimat bénéfique pour la santé. Au-delà du tourisme estival, Torrevieja vit toute l’année grâce à ses nombreux résidents permanents : centres commerciaux, hypermarchés (Carrefour), cinéma, hôpitaux (un grand hôpital public universitaire et des cliniques privées) assurent un confort quotidien comparable à n’importe quelle ville européenne. Les amateurs de sorties apprécient le port de plaisance, les clubs de golf à proximité, ou encore les fêtes locales animées. En termes d’immobilier, Torrevieja est sans doute l’un des marchés les plus abordables de la côte espagnole. On peut encore y dénicher des appartements proches de la mer autour de 50 000 à 80 000 €, voire des petites maisons dès 60 000 € en périphérie – ce qui attire beaucoup d’investisseurs à petit budget. Une recherche récente sur Idealista montrait plusieurs maisons sans rénovation à moins de 100 000 € dans la région de Torrevieja. Les nouveaux programmes ne manquent pas non plus : résidences avec piscine commune, immeubles contemporains avec vue sur les salines… à des tarifs défiant toute concurrence sur la Méditerranée occidentale.
Choisir Torrevieja, c’est adopter un style de vie décontracté et convivial. La population locale et expatriée est réputée accueillante, avec de nombreuses activités d’intégration (cours de danse, clubs linguistiques, randonnées organisées). La compatibilité avec un mode de vie suisse ou français est excellente : on y mange très bien (marchés de produits frais, restaurants internationaux), la sécurité est bonne, les infrastructures publiques (transport, santé) fonctionnent bien et la proximité de l’aéroport (40 minutes) facilite les retours réguliers au pays. En conclusion, Torrevieja conviendra à ceux qui souhaitent vivre en ville au bord de la mer, profiter d’une vaste communauté internationale tout en réalisant une excellente affaire immobilière.
Au nord d’Alicante : charmes de la Costa Blanca Nord, de Benidorm à Jávea
En remontant vers le nord de la province d’Alicante, le littoral offre un tout autre visage. La Costa Blanca Nord se caractérise par des paysages plus vallonnés et verdoyants, une succession de stations balnéaires pittoresques et de villages au riche patrimoine. Cette zone concentre également certaines des adresses les plus exclusives de la côte, très appréciées d’une clientèle internationale aisée. Le climat y reste doux toute l’année, avec peut-être des températures d’été légèrement plus modérées grâce à la brise marine et aux reliefs. Francophones et autres expatriés y trouvent un cadre de vie méditerranéen plus calme et authentique que dans le sud, sans pour autant renoncer aux services de qualité. Voici un tour d’horizon des localités phares de la Costa Blanca nord :
Calpe
Calpe (Calp en valencien) est une charmante ville côtière dominée par le spectaculaire rocher du Peñón de Ifach, emblème de la Costa Blanca. Avec ses deux grandes plages de sable encadrant le Peñón, son port de pêche traditionnel et sa promenade maritime animée, Calpe réussit l’alliance du typique et du moderne. La ville compte environ 25 000 habitants, un nombre qui augmente sensiblement en été. Calpe est particulièrement prisée des acheteurs étrangers : plus de 65% de la demande immobilière dans certains quartiers de Calpe provient d’étrangers, notamment de Français, de Néerlandais ou d’Allemands. Cette forte présence internationale se ressent dans la vie locale – il n’est pas rare d’entendre parler français sur les terrasses de café ou au marché du samedi.
Le cadre de vie à Calpe convient autant aux retraités qu’aux familles ou actifs nomades. On y trouve tous les équipements nécessaires : centres médicaux, supermarchés (y compris des enseignes internationales), écoles (espagnoles et une école internationale à proximité), ainsi qu’une foule de restaurants (des bars à tapas aux brasseries françaises en passant par les pubs britanniques). Le tout dans un rayon de quelques kilomètres, car Calpe n’est pas très étendue. Côté immobilier, l’offre est variée : appartements modernes avec vue mer dans les immeubles du front de mer, maisons de ville dans le centre historique, ou villas avec piscine sur les hauteurs (par exemple dans le secteur résidentiel de Maryvilla, très recherché par les étrangers). Les prix restent raisonnables pour la région : plus chers qu’à Torrevieja mais moins qu’à Jávea, ce qui fait de Calpe un bon compromis. À noter que Calpe poursuit son développement : de nouveaux projets immobiliers y voient le jour, dont des résidences de standing avec services (piscine, sécurité) qui peuvent intéresser les acheteurs souhaitant du clé en main tout confort. Vivre à Calpe, c’est profiter au quotidien d’un panorama exceptionnel, d’une ambiance bilingue et d’un accès facile (environ 1h15 de l’aéroport d’Alicante par autoroute).
Altea
À quelques minutes de Calpe se trouve Altea, souvent décrite comme l’un des plus beaux villages de la Costa Blanca. Ce bourg de 22 000 habitants séduit par son cachet artistique et bohème : la vieille ville d’Altea est un dédale de ruelles pavées en pente, bordées de maisons blanches fleuries, qui mènent à la célèbre église à coupole bleue (symbole d’Altea). De là-haut, la vue sur la baie est splendide. En contrebas, Altea s’étire le long d’un littoral de galets et de petites plages plus intimes que les grandes plages touristiques voisines.
Altea a attiré depuis des décennies de nombreux artistes, retraités aisés et amateurs de tranquillité, y compris des francophones. L’atmosphère y est plus feutrée que dans les stations environnantes : pas de boîtes de nuit tapageuses ici, mais des galeries d’art, des ateliers d’artisanat, des cafés littéraires et de charmants restaurants gastronomiques. Cette qualité de vie a un coût : l’immobilier à Altea figure parmi les plus chers de la région d’Alicante, en particulier dans la prestigieuse urbanisation d’Altea Hills perchée sur les hauteurs (vue imprenable, villas de luxe sécurisées). Néanmoins, on peut aussi trouver dans la vieille ville des appartements ou maisons de village au charme fou à des prix plus abordables, idéals pour une résidence secondaire de caractère. La communauté étrangère à Altea est importante (environ 30% de la population), avec beaucoup de résidents venus de France, de Belgique ou de Suisse appréciant le raffinement et la sécurité de la commune. Les services publics sont de qualité : petits supermarchés de produits bio, centre médical, sécurité assurée par une police locale réactive. Pour les grandes emplettes, Benidorm n’est qu’à 10 km. Altea est bien connectée via la N-332 ou l’autoroute, et une ligne de tramway relie même la ville à Alicante en longeant la côte. En somme, Altea conviendra à ceux qui recherchent un écrin méditerranéen authentique, où il fait bon flâner et vivre en toute sérénité, sans être isolé pour autant.
Jávea (Xàbia)
Située plus au nord, Jávea – appelée Xàbia en valencien – est une autre perle de la Costa Blanca. Nichée entre le cap de la Nao et le parc naturel du Montgó, Jávea offre des paysages spectaculaires et une diversité de quartiers. On y trouve un centre historique légèrement en retrait, avec ses ruelles et son marché, un port de pêche pittoresque, et la zone de l’Arenal autour d’une magnifique plage de sable en demi-lune. Jávea a la réputation d’avoir un microclimat particulièrement sain, ce qui explique l’importante communauté étrangère qu’elle accueille toute l’année. Environ la moitié des 30 000 habitants de Jávea sont des résidents étrangers, un des taux les plus élevés de la région. La langue anglaise y est extrêmement répandue, portée notamment par près de 6 000 ressortissants britanniques installés sur la commune – la plus grande communauté anglophone de toute la Communauté valencienne. Pour un expatrié francophone, cela signifie qu’il est facile de s’y faire comprendre en anglais dans la vie courante (commerces, restaurants, médecins), et que l’on y trouve bon nombre de structures internationales.
En effet, Jávea dispose de plusieurs écoles internationales à proximité (dont une École Britannique réputée à Benitachell, à 10 minutes, et d’autres collèges anglophones locaux), ainsi que de clubs et associations pour expatriés (clubs de tennis, de voile, rencontres francophones occasionnelles via des groupes locaux). La qualité des infrastructures est par ailleurs excellente : Jávea possède des cliniques modernes, un réseau de transport local, et bénéficie de la présence de l’hôpital de Dénia à 15 km pour les soins lourds. Côté loisirs, la ville propose un éventail complet d’activités : randonnées dans le Montgó, plages et criques pour la plongée, gastronomie variée (de la paella aux restaurants français ou italiens tenus par des expatriés). La vie sociale y est riche, rythmée par des évènements tout au long de l’année (fêtes patronales, marchés d’artisans, etc.), ce qui fait que même hors saison estivale, Jávea reste animée et vivante.
Le marché immobilier de Jávea est orienté milieu-haut de gamme. Les villas avec piscine et vue sur mer dans des quartiers comme Tosalet ou Puerta Fenicia attirent des acheteurs du monde entier, prêts à investir pour un cadre idyllique. Les appartements près de la plage de l’Arenal, prisés pour la location touristique, affichent également des prix soutenus. D’une manière générale, le budget pour s’installer à Jávea sera plus conséquent qu’à Alicante ville ou qu’au sud de la province – comparativement, on dépasse souvent les 3 000 €/m² pour une villa récente avec vue dégagée. Cependant, cet investissement garantit une valeur patrimoniale solide étant donné l’attrait constant de Jávea sur le marché. Pour un retraité ou une famille suisse/française recherchant un endroit sécurisé, verdoyant et internationalement reconnu pour sa qualité de vie, Jávea fait figure de choix idéal.
Dénia
À l’extrême nord de la Costa Blanca se trouve Dénia, souvent considérée comme la porte d’entrée de la province d’Alicante. Ville de ~42 000 habitants, Dénia est à la fois une station balnéaire et une vraie ville active toute l’année, grâce notamment à son port commercial qui assure les liaisons ferry vers les îles Baléares. Les francophones y apprécieront le caractère authentique de Dénia : un château médiéval domine le centre-ville, les quartiers conservent une ambiance espagnole traditionnelle avec leurs marchés, et la gastronomie locale (Dénia est “Ville Créative de la Gastronomie” à l’UNESCO) fait la fierté des habitants. Pour autant, Dénia héberge une importante communauté d’étrangers (environ 12 000 résidents étrangers, soit près de 30% de la population), attirés par son équilibre entre animation et douceur de vivre. On y trouve des Allemands, des Britanniques, ainsi qu’un nombre croissant de Français et de Belges qui choisissent Dénia pour son atmosphère plus espagnole que les stations voisines tout en restant ouverte sur l’international.
Dénia bénéficie de 20 km de littoral offrant un large choix de plages : au nord, les plages de sable fin des Marines idéales pour les familles, et au sud, les criques rocheuses préservées des Rotes, prisées des connaisseurs. La ville est bien équipée : hôpital public moderne, écoles (dont une école bilingue), tous les grands supermarchés, et même un club de tennis internationalement connu. Le parc naturel du Montgó tout proche offre de belles excursions nature. Côté immobilier, Dénia propose des prix un peu plus doux que Jávea pour des prestations similaires. Il est possible d’y trouver un appartement confortable proche du centre aux alentours de 1 500-2 000 €/m², ou une villa dans l’arrière-pays de Dénia à des tarifs intéressants. Les quartiers résidentiels comme Las Marinas (vers le nord) ou La Pedrera (vers le Montgó) concentrent de nombreuses villas appartenant à des étrangers. Des programmes neufs commencent également à voir le jour, modernisant l’offre (par exemple des résidences avec jardin et piscine en bord de plage). Dénia conviendra en particulier aux francophones qui souhaitent une immersion culturelle plus prononcée (on y pratique volontiers l’espagnol et le valencien au quotidien) tout en ayant la possibilité d’échanger avec une communauté internationale présente mais plus discrète qu’à Jávea ou Calpe.
Benidorm
Impossible d’évoquer la Costa Blanca nord sans parler de Benidorm, sa plus grande station balnéaire et sans doute la ville côtière la plus célèbre d’Espagne. Benidorm est unique en son genre avec sa forêt de gratte-ciel surplombant deux immenses plages de sable doré (Playa de Levante et Playa de Poniente). Surnommée le “Manhattan de la Méditerranée”, elle compte près de 73 000 habitants à l’année – un chiffre qui explose à plus de 500 000 résidents en été avec l’afflux touristique. Pour les futurs acheteurs, Benidorm offre une palette d’avantages mais aussi un style de vie particulier, très animé.
Du point de vue pratique, Benidorm dispose de toutes les commodités imaginables : centres commerciaux, cliniques et hôpitaux privés haut de gamme (ex : Hôpital IMED Levante), écoles internationales à proximité (sur la zone de La Nucia/Alfaz del Pi, où résident aussi de nombreux expatriés), restaurants et bars par centaines, parcs à thème (Terra Mitica, Aqualandia) pour les loisirs en famille, etc. C’est une ville qui vit 24h/24 en haute saison, et reste active le reste de l’année grâce à une importante population de résidents étrangers (Britanniques en tête, mais aussi des Belges, Français, Chinois…). On y trouve d’ailleurs des commerces atypiques pour l’Espagne : pubs irlandais, supermarchés écossais, cafés flamands, ce qui témoigne du cosmopolitisme local. Les francophones ne seront donc pas dépaysés quant à la présence d’autres expatriés, même si le français est moins courant ici que l’anglais ou l’espagnol.
En termes d’immobilier, Benidorm offre un marché très varié. Les prix au mètre carré peuvent être très accessibles dans les immeubles anciens des années 1970 (il n’est pas rare de voir des studios avec vue mer offerts à 80 000-100 000 €), ce qui attire des retraités modestes ou des investisseurs locatifs. À l’opposé, Benidorm compte aussi des résidences neuves de luxe, comme la tour Intempo ou d’autres gratte-ciel récents avec spa, gym et conciergerie, où les penthouses se négocient à plus d’un million d’euros. Ainsi, quel que soit le budget, on peut trouver son bonheur à Benidorm. Il faut toutefois aimer l’ambiance urbaine et touristique : la ville est très dense, la haute saison amène du bruit et de la circulation, et l’architecture est résolument moderne (ne pas s’attendre à un centre historique pittoresque). En revanche, pour qui souhaite un lieu de vie dynamique, sécurisé et riche en divertissements, Benidorm est un choix judicieux. La ville est, de plus, bien desservie (40 minutes de l’aéroport, lignes de bus, tramway jusqu’à Alicante) et entourée de communes plus calmes où il est possible de résider tout en profitant des infrastructures de Benidorm (par exemple Alfaz del Pi ou Finestrat, où vivent beaucoup de francophones). En somme, Benidorm incarne la facette ultra-moderne et festive de la Costa Blanca : un coin de Floride sur la Méditerranée, apprécié notamment des jeunes retraités étrangers en quête de soleil et de vie sociale active.
L’arrière-pays d’Alicante : authenticité, nature et vie paisible
Si le littoral attire la majorité des acheteurs internationaux, l’intérieur des terres de la province d’Alicante mérite également l’attention des francophones en quête d’authenticité et de tranquillité. Cet arrière-pays, fait de collines couvertes d’amandiers, de vignes et d’oliviers, abrite de charmants villages où le temps semble s’être arrêté. Les atouts d’une installation dans la campagne alicantine sont nombreux : des prix immobiliers imbattables, un environnement naturel préservé, et souvent un climat encore plus tempéré (nuits plus fraîches en été, brises de montagne). C’est le choix de vie idéal pour ceux qui souhaitent s’éloigner du tourisme de masse et s’immerger dans la culture locale, tout en restant à distance raisonnable de la mer (souvent 30 à 60 minutes de route). Voici trois zones intérieures à considérer :
Vallée de Jalón (Vall de Xaló)
La vallée de Jalón, au nord d’Alicante (dans la comarca de la Marina Alta), est renommée pour ses paysages bucoliques et sa production viticole. C’est une large vallée encadrée de montagnes, où coulent des rivières et où les champs de vignes et d’amandiers dessinent le panorama. Le village principal, Jalón (Xaló en valencien), est connu pour son marché aux antiquités et aux produits locaux chaque semaine, qui attire de nombreux étrangers installés dans la région. En effet, la vallée de Jalón héberge une importante communauté d’expatriés, principalement britanniques mais aussi néerlandais, allemands et quelques francophones. Dans certains petits villages de la vallée, les résidents étrangers représentent plus de la moitié de la population – c’est le cas par exemple à Alcalalí (57% d’étrangers) ou à Llíber (plus de 56%). Ces proportions remarquables s’expliquent par le cadre de vie idyllique offert par la vallée : calme absolu, senteurs de fleur d’oranger et d’amande au printemps, possibilités de randonnées, de VTT, le tout à seulement 20-25 km des plages de Calpe ou Moraira.
Pour un francophone, s’installer dans la vallée de Jalón permet de trouver un équilibre entre nature et communauté. D’un côté, l’immersion dans la culture espagnole est garantie : la vie y est rythmée par les fêtes patronales, les vendanges, le marché hebdomadaire où l’on pratique son espagnol avec les producteurs locaux. De l’autre, la présence d’expatriés voisins offre entraide et convivialité : des clubs sociaux se sont créés (pour le jardinage, la randonnée, des cafés-rencontres internationaux, etc.), et nombre de commerçants locaux sont habitués à servir une clientèle étrangère (on peut souvent communiquer en anglais). L’immobilier dans la vallée de Jalón est très abordable comparé au littoral proche. On y trouve de charmantes fincas (maisons de campagne) avec terrain, souvent vendues entièrement meublées, à des prix défiant concurrence. Par exemple, une villa avec piscine et jardin autour de 150 000-200 000 € est courante, quand le même bien vaudrait le double en bord de mer. Les maisons de village plus rustiques, à rénover, peuvent se négocier encore moins cher. Quelques promotions neuves ont vu le jour également, proposant des villas modernes de style minimaliste perchées sur les coteaux, pour les acheteurs en recherche de neuf. En choisissant la vallée de Jalón, les francophones optent pour une qualité de vie rurale à l’espagnole, sans renoncer à un certain cosmopolitisme et à la proximité du littoral.
Pinoso (El Pinós)
Pinoso est un autre joyau de l’intérieur d’Alicante, situé à environ 60 km au nord-ouest de la ville d’Alicante. Ce bourg de près de 8 000 habitants vit principalement de la viticulture (cépage Monastrell réputé) et de l’exploitation du marbre. Pinoso – appelé El Pinós en valencien – attire depuis quelques années des acheteurs étrangers à la recherche de vie à la campagne. Actuellement, environ 20% des habitants de Pinoso sont des ressortissants étrangers (1 704 personnes de 56 nationalités différentes). Cette proportion, bien que moindre qu’en bord de mer, reste significative et assure la présence d’une petite communauté internationale active. On y trouve notamment des Britanniques et des Belges venus profiter des tarifs immobiliers très bas et du cadre tranquille.
Il faut dire qu’à Pinoso, le rêve d’une maison méditerranéenne à prix doux devient réalité. Les opportunités immobilières incluent des maisons de village traditionnelles, mais surtout de grandes propriétés rurales : anciennes fermettes en pierre, villas récentes construites sur mesure, parfois vendues avec des vergers de vignes ou d’oliviers. Les prix commencent aux alentours de 50 000 € pour des bâtisses à rénover, et tournent entre 100 000 et 200 000 € pour de jolies villas prêtes à vivre avec piscine – des montants inimaginables sur la côte. Cette accessibilité a fait de Pinoso un spot à la mode pour les retraités étrangers à budget modéré souhaitant beaucoup d’espace et de soleil. La municipalité encourage d’ailleurs ces installations, en améliorant les services : le centre de santé a une bonne réputation, et les commerces du village (boulangeries, bouchers, quincailleries) répondent aux besoins du quotidien. Il faut toutefois noter qu’à Pinoso, l’espagnol est roi – peu d’habitants parlent anglais ou français, hormis quelques agents immobiliers et voisins expatriés. Pour un francophone, vivre ici implique donc une immersion totale et l’apprentissage de la langue du pays pour une intégration réussie. En échange, on bénéficie d’un mode de vie authentique et serein : sécurité totale (on se connaît tous dans le village), climat sec idéal pour la santé, coût de la vie très bas, et hospitalité sincère des locaux. Pinoso est par ailleurs bien situé pour explorer l’arrière-pays : la ville historique de Murcie est à 45 minutes, Alicante à une petite heure, et les montagnes alentours regorgent de petits villages, de caves viticoles à visiter, de sentiers de randonnée. Pour les amoureux de nature et de simplicité, c’est un petit paradis.
Villena
Villena est une ville d’environ 34 000 habitants, au nord-ouest de la province d’Alicante, connue pour son riche passé historique (château médiéval de la Atalaya, Trésor de Villena) et ses festivals culturels. C’est la capitale de la comarque de l’Alto Vinalopó, une région de transition entre la côte valencienne et la Castille-Manche. Villena est un choix à part pour les acheteurs étrangers car elle n’appartient pas aux circuits touristiques classiques – ici, vous serez plongé dans l’Espagne authentique. D’ailleurs, la communauté expatriée y est réduite, ce qui contribue à préserver l’ambiance typiquement espagnole de la ville. Pourquoi alors considérer Villena ? Pour son excellent rapport qualité-prix immobilier et ses liaisons de transport, notamment.
En effet, Villena affiche des prix immobiliers défiant toute concurrence sur la Costa Blanca : en mars 2025, le prix moyen y est d’environ 693 € par m² seulement, soit près de trois fois moins cher que la moyenne d’Alicante ville (2 321 €/m²). Un appartement familial à Villena peut ainsi coûter le prix d’un petit studio sur la côte ! Cette accessibilité permet d’envisager de spacieux logements (voire des demeures historiques pleines de caractère) avec un budget limité. Villena propose des maisons de ville à patios, des appartements modernes dans des immeubles récents, ainsi que des propriétés rurales dans les environs immédiats. Par exemple, dans le quartier de Las Cruces, on trouve des appartements à rénover à des tarifs plancher, idéaux pour un bricoleur cherchant un pied-à-terre pas cher.
Outre l’aspect financier, Villena bénéficie de liaisons de transport pratiques : une gare la relie à Alicante en 45 minutes (train régional très économique), et surtout une gare TGV (AVE) en périphérie place Madrid à environ 2h de trajet. Les aéroports d’Alicante et de Valence sont à environ 1h-1h30 de route, ce qui est raisonnable pour voyager. La ville elle-même offre une qualité de vie tranquille : toutes les commodités (supermarchés, commerces, hôpital, écoles) sont présentes, il y a un petit centre commercial, des infrastructures sportives modernes, etc. La vie culturelle est animée par des concerts, un théâtre, des fêtes médiévales et vinicoles célèbres dans la région. Pour un francophone, vivre à Villena est l’occasion de s’intégrer pleinement parmi les locaux – on y sera perçu comme un visiteur de curiosité, accueilli chaleureusement par des habitants fiers de partager les trésors de leur ville. Bien sûr, il faut être prêt à communiquer essentiellement en espagnol (peu d’anglophonie ici), mais l’expérience en sera d’autant plus enrichissante. En somme, Villena s’adresse à des profils d’acheteurs aimant sortir des sentiers battus, recherchant une immersion culturelle totale et des coûts modérés, tout en restant reliés aux axes vers le littoral et les grandes villes.
Conclusion : trouvez votre coin de paradis sur la Costa Blanca
En conclusion, la province d’Alicante regorge de zones variées qui sauront combler les attentes des acheteurs francophones en quête du soleil espagnol. Du dynamisme urbain d’Alicante ville aux havres résidentiels de Playa de San Juan ou de Cabo de las Huertas, des communautés expatriées conviviales d’Orihuela Costa et de Torrevieja aux villages plein de charme de la Costa Blanca nord comme Altea ou Jávea, sans oublier le calme rustique de l’arrière-pays à Jalón ou Pinoso – il y en a pour tous les goûts et tous les projets de vie. Avant de vous décider, il est recommandé de bien définir vos priorités : préfériez-vous l’animation ou la tranquillité ? Être proche d’une communauté francophone, ou vivre en immersion totale ? Avez-vous besoin d’une école internationale pour vos enfants, d’un accès rapide à l’aéroport, d’une prise en charge médicale spécifique ? Chaque zone présentée a ses atouts : à vous de voir laquelle correspond le mieux à votre mode de vie idéal.
Nous vous conseillons, dans la mesure du possible, de venir explorer par vous-même ces différentes localités. Passez un week-end à Alicante centre pour ressentir son ambiance, parcourez la côte d’Orihuela en voiture en visitant ses urbanisations, aventurez-vous un matin sur le marché de Jalón… Ces expériences vous donneront un aperçu concret de la vie quotidienne sur place, au-delà des chiffres et des descriptions. N’hésitez pas également à échanger avec des résidents expatriés (les forums et réseaux sociaux d’entraide francophone en Espagne regorgent de témoignages) – ils pourront partager leurs ressentis sur tel ou tel quartier.
Enfin, sachez que les données immobilières évoluent rapidement : renseignez-vous sur les tendances du marché (les prix dans certaines zones très demandées augmentent de 5 à 10% par an récemment) et vérifiez les disponibilités de logements neufs via des plateformes comme Idealista ou en nous contactant directement. Acheter un bien à l’étranger est une aventure excitante qui mérite une préparation sérieuse. Avec ses multiples facettes et son cadre de vie enviable, Alicante et la Costa Blanca vous tendent les bras. À vous de jouer – et peut-être bientôt, de profiter de votre paradis personnel au soleil sur la côte d’Alicante ! Bon voyage exploratoire et bonne installation future.
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